QUI EST LOMBRIVIA ?
LOMBRIVIA c’est la reine des lombriciens ou des vers de terre, elle représente avec d’autres organismes la matière organique vivante des sols. Sa présence rassure sur l’activité biologique des sols, elle recycle pour nous les déchets organiques, végétaux, fermentescibles.
Elle permet de nourrir les aliments qui finiront sur notre assiette ; la qualité de notre consommation dépend de la qualité de sa propre consommation, c’est un maillon de notre chaîne alimentaire. ( Décomposeurs – Producteurs – Consommateurs ) .
Par conséquent le retour au sol des déchets verts ou composts urbains doivent être de qualité irréprochable impliquant l’obligation de tri à la source des biodéchets.
LOMBRIVIA a un impact sur l’activité microbienne, le cycle des éléments minéraux, la rétention en eau et contribue ainsi à l’augmentation de la productivité végétale. En favorisant le développement des communautés de vers de terre, c’est en réalité tout un écosystème de surface, contribuant largement à la richesse et la diversité de la faune sauvage, qui est favorisé et qui apporte des bénéfices en retour.
Le naturaliste Charles Darwin (1809-1882) se distingue par l’originalité de son point de vue en développant une théorie esquissée dès 1837 dans un court article pour la Société géologique de Londres: la couche d’humus qui couvre la surface du sol dans les zones tempérées doit ses propriétés – essentielles aux végétaux – au lent et patient labeur des innombrables vers qui travaillent la terre en permanence. «Toute la terre végétale sur la totalité du pays est passée de nombreuses fois et repassera encore de nombreuses fois à travers les canaux intestinaux des vers», écrit Darwin.
L’origine des vers de terre actuels remonte à environ 200 millions d’années et ont sans doute fait leur évolution principale il y a 100 millions d’années au moment où sont apparues les plantes à fleurs.
Aristote (384-322 av J.C) élève de Platon a comparé les vers de terre aux intestins de la terre.
Dans l’Egypte ancienne, l’importance des vers de terre dans la vallée du Nil était reconnue.
Cléopâtre ( 69-30 av J.C) décréta le ver de terre, animal sacré devant être vénéré et protégé par tous ses sujets ; les égyptiens avaient interdiction de les retirer de la terre d’Egypte et les agriculteurs ne devaient pas les déranger sous peine d’offenser le Dieu de la fertilité.
Les relations entre les populations humaines et les vers de terre sont donc anciennes.
L’intérêt récent et croissant pour l’agriculture biologique ou organique dans laquelle les vers de terre jouent un rôle important vis-à-vis de la fertilité du sol attire de multiples attentions.
Ainsi, l’agriculture dite de « conservation » basée sur l’abandon du labour et la pratique du semis direct sous couverture végétale (SCV), fait de l’action des vers de terre l’un de ses piliers agronomiques.
Cette forme d’agriculture a été développée en réponse aux graves problèmes d’érosion des sols liés à l’intensification des travaux du sol préparatoires aux semis.
Dans ces systèmes, les vers de terre remplacent le labour dans sa fonction d’aération du sol, d’entretien de la macroporosité et d’enfouissement de la matière organique, sans oublier la diminution très importante d’eau pour l’arrosage, la disparition d’engrais, insecticides, pesticides, avec en prime une moindre utilisation de machines agricoles pour réduire les rejets de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Un sol laissé nu entraîne son érosion par les pluies; en revanche en présence d’une litière végétale et des galeries creusées par les vers, l’eau s’infiltre dans le sol qui conserve sa fertilité ; la disparition des vers de terre devient un des facteurs de l’aggravation des inondations…
Une communauté de vers de terre efficace, c’est une meilleure fertilité du sol et donc des économies d’intrants, mais aussi une diminution des impacts environnementaux des pratiques agricoles.
Préserver les matières organiques du sol, c’est lutter contre le réchauffement climatique :
une augmentation des stocks de carbone organique des sols cultivés peut jouer un rôle significatif dans la limitation des émissions nettes de gaz à effet de serre vers l’atmosphère en stockant du CO2 atmosphérique dans la matière organique des sols.
L’agro-écologie , pratique agricole au service des vers de terre est aussi au service de la planète !!
LOMBRIVIA maîtrise parfaitement le traitement des eaux usées en compagnie de plantes assistantes. L’eau filtrée repart directement dans le canal d’arrosage. POURVOIR la station écologique de Mas Blanc des Alpilles 13 : en sortant de Saint Rémy de Provence en direction de Tarascon – Arles, prendre la route à droite après le dernier restaurant du village sur la droite, juste en face de la signalétique « homme + Nature = Art Durable » www.lombrivia.com . En sens inverse prendre la route à gauche en entrant à Mas Blanc des Alpilles + faire 300 m environ au fond du chemin.
LOMBRIVIA indiquera prochainement les lieux de culture agro-écologiques exploités par ses amis agriculteurs.